Historique

• Suite à une enquête publique ouverte en mairie de LORGUES du 2 janvier 1984 au 1er février 1984, et malgré l'opposition de l'un des propriétaires en indivis, le sous-préfet de Draguignan autorise Madame veuve Denise Samarcq, locataire, à ouvrir un établissement destiné à recevoir des animaux vivants (50 chiens) au quartier Le Palet à Lorgues dans le Var et ce, sur un terrain privé appartenant à la famille OUSTRIC (propriétaire du terrain de 13 ha en indivision).

rappel sur les enquêtes publiques :

Engagée par le Préfet, conduite par un commissaire-enquêteur désigné par le président du Tribunal administratif et organisée dans la (ou les) mairie(s) concerné(es) par le projet, l’enquête publique est ainsi une procédure ouverte à tous et sans aucune restriction qui permet au public d’être informer et d’exprimer ses appréciations, suggestions et contre propositions sur un registre d’enquête, préalablement à des opérations d’aménagement ou des opérations de planification urbaine. A l’issue de la procédure d’enquête publique, le commissaire-enquêteur rédige un rapport d’enquête, formule un avis favorable ou défavorable et le transmet au Préfet. Si l’avis est favorable, le Préfet délivre la déclaration d’utilité publique du projet.

• Le 27 janvier 1989, la préfecture donne un avis favorable pour une extension à 150 chiens.

• Au fil des années le nombre d'animaux recueillis ne cesse d'augmenter jusqu'à atteindre le chiffre démentiel de 300 chiens et autres animaux (chevaux, ânes, chèvres, chats, sangliers, tortues, ...), Denise SAMARCQ  fait la une de "VAR MATIN", l'établissement devient une vraie fourrière ....

• Le 23 mai 2007 sous la pression médiatique (reportage diffusé par FR3) et suite à des plaintes d'associations de protection animale, la Sous-Préfecture est intervenue pour saisir les animaux de Denise SAMARCQ. Il n'y a plus que quelques rescapés de l'enfer, il ne reste plus que 12 chiens dans des box infâmes et remplis d'excréments, et une femelle sanglier enfermée dans une cage de 2m2.

• Denise SAMARCQ conserve malgré tout 9 chiens, ceux qui vivent en meute et en liberté dans sa caravane.

• L'établissement existe encore aujourd'hui et Denise SAMARCQ handicapée et malade vit toujours sur place au  milieu d'un capharnaüm indescriptible avec ses 9 chiens certainement  malades.

Grâce à divers témoignages, nous savons que cette situation a perduré de longues années et en sachant que Denise SAMARCQ ne faisait pas d'adoption au sein de son établissement à part les chiots qui y naissaient (chiennes non stérilisées), nous pouvons affirmer qu'une grande partie de ces animaux sont morts de maltraitance par de graves négligences et dans une indifférence écoeurante et totale de la part des Pouvoirs Publics concernés.

Comments

[mme bonneau]

bonjour ,que puis je faire pour vous aider afin que ce calvaire cessent? il faudrait prévenir l'emission 7 à 8 pour qu'il fassent un reportage et que tous le monde se bouge c'est trop horrible !!!